lundi 2 juillet 2012

LE VIDE

                 IL existe en tout homme un vide qui ne se comble que par la présence de DIEU. Ce vide ne peut être comble que par DIEU LUI-MÊME .Jusqu’a ce que tu le reconnaisses  et t’humilie  devant LUI et LUI ouvre la porte, le vide restera la.

         Plusieurs essayent de combler le vide par la boisson ou l’alcool ; d’autres  essaient de combler le vide par les relations sexuelles, ils vont femmes après femmes, filles après filles…Mais alors, après s’être enivrer et s’être fait plaisir, ils se rendent compte que le vide est toujours la, attendant et criant toujours.

         D’autres essayent de combler le vide par les amitiés, ils visitent amis sur amis, voisins sur voisins mais se rendent compte qu’ils n’ont récolté que chagrins sur chagrins… Certains veulent combler le vide par le casino, les jeux au hasard, le p.m.u., les paris sportif …mais  se rendent compte après avoir tout misé que le vide est toujours la. Beaucoup pensent que l’argent pourra combler le vide et mettent ainsi corps, âme et esprit dans le travail mais alors en ressortent déprimes avec un vide plus grand. Ils ont eu l’argent qu’ils voulaient, les voitures qu’ils désiraient mais alors se sont rendu compte que le vide est toujours la.

     « Il y a dans toutes âme humaine une aspiration qui ne peut être satisfaite dans ce monde et dans l’autre que par DIEU LUI-MEME .C’est pourquoi lorsque l’homme fatigue d’être agite par ses passions se repent a la fin c’est a DIEU qu’il retourne » (Sundar Sihn)

“Dieu prévoit de ramener à Lui celui qui a été banni...” 2 Samuel 14.14

Le père d’A. Judson, qui était pasteur, ne cessait de prier et d’espérer que son fils suive ses pas, mais ce dernier avait des idées très différentes : il considérait que le pastorat était une pure perte de temps et un gaspillage de talent. Il se déclarait athée convaincu et devint l’ami d’un certain Ernest Eames qu’il rencontra à l’université de Providence. Ce dernier, farouche athée lui aussi, consolida la conviction de Judson qu’il n’y avait pas de Dieu. Pendant des années Judson erra dans le pays, vivant selon ses propres mots “une vie dissolue à l’extrême”.


Un soir il fit halte dans une auberge de campagne où la seule chambre encore vacante était à côté de celle où un homme était en train de mourir. “Je n’ai aucun problème à prendre cette chambre”, déclara-t-il fièrement à l’aubergiste, “Je n’ai pas peur de la mort, car je suis un athée convaincu.” Il écouta toute la nuit les râles et gémissements de souffrance de son voisin, pensant : “Je devrais aller l’aider, mais que pourrais-je lui dire ?” Au petit matin l’homme mourut.

Avant de quitter l’auberge Judson demanda au propriétaire : “Vous savez qui était cet homme ?” “C’était un homme à peu près de votre âge, diplômé de l’Université de Providence. Il s’appelait Ernest Eames” répondit l’aubergiste. Judson rentra derechef à la maison de son père, les mots “Mort et perdu, mort et perdu” résonnant dans sa tête tout au long du chemin. Arrivé chez lui, il abandonna sa vie entre les mains de Christ. Il devint plus tard missionnaire en Asie et participa à la traduction de la Bible en Birman.

Des milliers d’âmes vinrent à Christ grâce à lui. Dans son journal quotidien on peut lire ces lignes : “Permets-moi de travailler dans ces montagnes, dans ces espaces perdus, permets-moi de me consacrer à dire comment Il est mort, mon Sauveur et mon Roi, juste pour sauver un monde destiné à l’enfer.” La Bible affirme : “Dieu établit des plans pour ramener à Lui des hommes comme nous qui avions été bannis loin de Lui...” (2 Samuel 14.14 TP). Ne sentez-vous pas Sa main qui vous tire doucement par la manche ? Ne croyez-vous pas qu’il serait temps de vous arrêter de fuir, de faire demi-tour et de Lui dire :“Seigneur, je rentre à la maison” ? (Bob Gass )